Investir à Miami – Le rêve Américain à portée de main ?
L'immobilier Américain met la bulle spéculative française en ébullition parce que tous se disent qu'en étant tombé si bas, le marche ne peut que se relever. Et obtenir à terme une belle plus-value. En effet, la crise des subprime et la baisse du dollar est une occasion en or pour acheter une maison secondaire aux Etats unis.
Il semblerait que les français aient une préférence pour Miami parce le français y est la troisième langue parlée avec près de 30000 expatriés francophones.
Il y a encore de réelles opportunités de placements et d'investissement parce que la gamme est très large.
De plus, la crise des subprime a rendu les prix très accessibles en faisant tomber le marché de l'ancien de 20 à 40%.
Enfin, des mesures fiscales ont été prises pour alléger les achats sur cette région.
Comment ça marche ?
Les banques sont prêtes à vendre les bien de leurs clients endettés moins cher que leur réelle valeur. Il suffit de faire une offre à la banque, généralement inférieur de 20% au prix du marché, pour obtenir l'accord de la banque.
Cela lui évite de couteuses procédures de saisie et de se retrouver avecun Nième bien sur les bras, ou de courrir le risque de vendre le bien à un prix encore inférieur dans une éventuelle vente aux enchères.
Toutefois, il y a des pièges à éviter c'est pourquoi il est nécessaire de se rendre sur place ou de mandater quelqu'un pour se prendre un maximum de renseignement.
Par exemple, les banques peuvent gonfler les prix « avant remise », omettre de communiquer sur certaines charges, ou amenuiser leur coût réel.
Les coins réputés pour un investissement à Miami
- Bal Harbor, le quartier du luxe à Miami
- Les îles des milliardaires: Fisher Island, Indian Creek et Star Island
- Coral Gable et Brickell Avenue, des régions résidence de haut standing
- South Beach Miami, avec son quartier « Art Déco », et ses immeubles avec vue sur l'Océan
- Ocean Drive, avec ses terrasses de café à la française et ses restaurants
- Lincoln Road et son fameux quartier piétonnier.
Miami attire une population riche et variée et propose des activités, des atmosphères qui répondront à tous les gouts et tous les style de vie.
Des commentaires ? Une question ?
Exprimez vous sur le forum
Crise des subrimes : une explication simple pour ceux qui essaient encore de comprendre.
(inspiré d’un blog)
Alors voilà ,
Me Ginette a une buvette à Bertancourt, dans le Nord (ch’ti).
Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses très fidèles clients, tous "alcoolo", et tous au chômage de longue durée.
Vu qu’elle vend à crédit, Me Ginette voit augmenter sa fréquentation et,
en plus, elle peut même augmenter un peu les prix de base du "calva"
et du ballon de rouge.
Ses créances deviennent assez importantes, mais elle tient (toujours/encore)
Max, jeune et dynamique directeur de l’agence bancaire locale, quant à lui,
pense que les "créances" du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Me Ginette
(il ignore ou pas qu’il a des dettes d’ivrognes comme garantie).
Au siège de la Banque, des "Traders" avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers que nul n’est capable de comprendre, non sans expliquer que ces "actifs"
ont en réalité, 10 fois leur valeur annoncée : c’est sans danger..
La Banque récolte ainsi (n) fois la créance de Me. Ginette.
Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous, mais sur-côtées à chaque transaction (les ardoises des "alcoolo" de Me Ginette).
Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s’il s’agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de plus de 80 pays.
Jusqu’au jour où quelqu’un se rend compte que les "alcoolo" du troquet de Bertancourt n’ont pas un rond pour payer leurs dettes ..
La buvette de Me Ginette fait faillite,
Max a été viré, les "traders" ne sont pas inquiétés,
pas plus que le grands "pontes" de la Banque.
Maintenant je lance le jeu de piste :
OU EST PASSE LE POGNON ?
le premier qui trouve a gagné !